LE PARISIEN WEEK-END. Nous nous sommes rendus dans ce port du Grand Nord canadien, où des curieux affluent du monde entier pour voir ses plantigrades, presque aussi nombreux que ses habitants.
Par Chloé BelleretLe
5 décembre 2025 à 10h30
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« Déplacez-vous en groupe », « Faites du bruit », « Ne marchez jamais dans la rue après 22 heures », intime un panneau dès la sortie de la gare de Churchill. En rouge figure un numéro d’urgence à composer lorsqu’un ours polaire s’invite en ville.
À peine arrivés, nous nous engageons d’un pas hésitant dans la rue principale enneigée, et quasi déserte, de ce village canadien anglophone, situé aux confins de l’Arctique. Dans nos poches, un sifflet et une fusée de détresse prêts à être dégainés.












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