Exclu. "Ça m'a traumatisé" : David Hallyday revient sur ce titre qu'il regrette encore d'avoir enregistré alors qu'il n'avait que 15 ans

David Hallyday est de retour sur le devant de la scène. Mercredi 3 décembre, l'artiste de 59 ans était la tête d'affiche du téléfilm Ardennes, réalisé par Josée Dayan et dans lequel il incarne Olivier Rimbaud, un psychiatre réputé qui vient en aide à la police dans la traque d'un tueur en série qui sévit dans la région. Le 10 décembre prochain, David Hallyday sera également à l'affiche du documentaire Hallyday par David sur M6, où il rend hommage à son père Johnny, disparu il y a huit ans. Avec cette actualité chargée, et alors qu'il repartira en tournée en 2026 avec son album Requiem pour un fou, le chanteur était l'invité d'Éric Dussart dans On refait la télé sur RTL. L'occasion de découvrir un secret bien gardé de sa carrière.

Dans On refait la télé, David Hallyday a été surpris d'entendre la chanson Come Back to Japan, qu'il avait enregistrée à l'âge de 15 ans pour le marché japonais. "Oh la vache ! Je peux t'en raconter des tonnes là-dessus. Je ne sais même pas où vous avez choppé ça", s’est-il étonné, avant d'en dire plus sur les conditions dans lesquelles il avait enregistré ce titre méconnu en France et dont il garde un mauvais souvenir. "Ça m'a traumatisé pendant des mois parce que c'est affreux. Non seulement ce n'est pas mon registre, mais ce n'est pas moi qui l'ai composé, Dieu merci. C'est pour ça qu'il n’est pas dans mon résumé. Ça m'a traumatisé", a-t-il confié. À l'époque, David Hallyday était adolescent et débutait sa carrière dans la musique. "Je jouais déjà avec mes potes le top 40 du rock et on m'envoie là-bas pour sortir ce single qu'on me fait enregistrer. On me dit : 'Tu vas voir, c'est génial !' J'avais 15 ans. Je chante le truc et je me dis : 'C'est pas possible, je vais me faire défoncer'", a-t-il raconté.

David Hallyday se souvient de ses débuts au Japon

Au Japon, David Hallyday avait également chanté dans un supermarché de Tokyo. Une autre expérience dont il se serait bien passé. "C'était bizarre parce que j'avais l'impression que c'était un truc fait à l'arrache. Il y avait une espèce de billboard derrière moi avec une photo naze de l'époque. Ils aimaient bien les franges, il fallait avoir une frange là-bas. Je me suis dit : 'Si c'est ça, je vais faire un autre métier'", s'est souvenu l’artiste, qui a finalement préféré persévérer.

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