Publié le 05/12/2025 à 17:00,
modifié le 06/12/2025 à 12:00
Cette année, la Bourgogne sera représentée par Charlène Laurin à l'élection de Miss France 2026. La jeune femme de 22 ans, qui rêve de succéder à Angélique Angarni-Filopon, avait déjà tenté sa chance en 2021.
Dans un peu moins de deux semaines, Charlène Laurin sera sur la scène du Zénith d'Amiens pour représenter la Bourgogne à l'élection de Miss France 2026. Sera-t-elle sacrée parmi les 30 candidates au terme du direct de plus de 3 heures sur TF1 ? S'il faudra attendre le 6 décembre pour avoir la réponse, Charlène Laurin rêve de ce titre depuis toujours, comme elle l'explique à Télé-Loisirs, partenaire de l'élection. Cette préparatrice en pharmacie, venue de Saône-et-Loire, avait d'ailleurs déjà participé au concours en 2021.
La jeune femme, longtemps complexée par sa taille (1m82) a toujours été attirée par le concours Miss France. "L’élection Miss France c’est vraiment une institution pour le coup. J’aime beaucoup être sur la scène, j’aime défiler mais aussi l’esprit de groupe qu’on a entre filles. On peut avoir la chance de représenter notre région à l’échelle nationale. C’est quelque chose qui m’attire beaucoup, être au contact des gens aussi, rencontrer toute la population", liste la candidate qui avait déjà tenté sa chance lorsqu'elle avait 18 ans. "Faire l’aventure Miss France ça a toujours été un objectif depuis très très longtemps et je n’avais pas envie de rester sur un échec. C’est pour ça que je suis revenue quelques années plus tard. Le temps de prendre de la maturité, de grandir, de rentrer dans le monde du travail aussi. C’était toujours mon objectif, j’avais envie de me dépasser et de sortir de ma zone de confort", confie Charlène Laurin à Télé-Loisirs.
Charlène Laurin (Miss Bourgogne 2025) avait déjà tenté l'élection Miss France : "J’ai préparé l’élection un peu différemment"
Et cette année, a été la bonne puisque son classement a été bien meilleur qu'il y a quatre ans. "En 2021, je n’avais pas eu d’écharpe ni rien, j’étais arrivée en moitié de classement si je ne me trompe pas", précise-t-elle.
Pour parvenir à atteindre son objectif, Miss Bourgogne 2025 s'est un peu mieux préparée mais a tenu à rester elle-même. "C’est vrai que j’ai préparé l’élection un peu différemment parce qu’on sait à quoi s’attendre, on s’améliore sur le discours, sur le défilé, etc. Mais ce n’est pas pour autant que je me suis mis la grosse pression, je suis restée la Charlène que j’étais il y a quatre ans, mais plus mature et avec un style de vie différent", conclut-elle.
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Depuis le petit village de la Loire (5000 habitants) où j’ai grandi, aux plateaux de télévision parisiens, j’ai toujours eu cette soif de découverte et de rencontres. Le petit écran m’a très vite offert une ouverture sur le monde, la possibilité de voir d’autres manières de penser, de s’habiller, de parler. C’était s’évader et se connecter aux autres en même temps. Je me souviens des premières saisons de la Star Academy que je suivais avec ma maman, de Fort Boyard ou de Qui veut gagner des millions ?, que je regardais quand j’étais chez mes grands-parents, puis plus tard, des goûters d’adolescente devant Secret Story, Les Anges de la télé-réalité ou encore Hollywood Girls que je débriefais dès le lendemain avec mes copines. Depuis, j’ai eu l’occasion de voir Nikos en vrai, d’interviewer La Voix, de rencontrer Jean-Pierre Foucault et j’ai même le numéro de Shauna Sand, la fameuse Geny G qui portait le programme de feu NRJ12. À chaque rencontre, je repense à la petite fille qui a grandi loin de tout cela et qui n’aurait jamais imaginé vivre autant d’aventures grâce à son métier. Mais avant d’arriver à Télé-Loisirs, j’ai un peu navigué. J’ai fait un stage de fin d’études pendant quatre mois en Nouvelle-Zélande pour un journal d'expatriés et surtout, j’ai fait mes armes en Presse quotidienne régionale (PQR), la meilleure formation qu’il soit, selon moi, pour un journaliste. À Lyon, Bourg-en-Bresse et Saint-Étienne, j’ai corrigé des centaines de pages pour le canard du lendemain quand j’étais secrétaire de rédaction, j’ai suivi en direct des procès, traité des tas de faits-divers, rencontré François Hollande, discuté avec les commerçants du coin, fait des micros-trottoirs et mis en avant des revendications. Même si j’aimais profondément ce que je faisais, j’avais besoin de me tourner vers ce qui me correspond le plus : le divertissement. Aujourd’hui, sur Télé-Loisirs, je vous parle avec passion de L’amour est dans le pré, Pékin Express, Top Chef, Miss France, la Star Academy et bien d’autres programmes qui vous font vibrer tout autant que moi !
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