Alors qu'il vient d'enregistrer sa 75e participation dans Les 12 coups de midi, la cagnotte de Cyprien s'élève déjà à 350 404 euros de gains et de cadeaux. En marge d'une interview accordée à Télé-Loisirs, le Maître de midi a confié ce qu'il comptait de son argent.
On ne l'arrête décidément plus ! Alors qu'il est arrivé dans Les 12 coups de midi quelques semaines après la fin du parcours doré d'Émilien, Cyprien vient de valider sa 75e victoire dans le jeu de la Une ce mardi 2 décembre. À cette même date, la cagnotte du musicien s'élevait d'ailleurs à 350 404 euros de gains et de cadeaux, notamment grâce à ses nombreux "Coups de maître" et aux découvertes de trois Étoiles mystérieuses. Loin de perdre la raison à cause d'un tel succès, aussi mérité que soudain, celui dont le père apparaît dans l'émission actuellement envisage plutôt la suite de façon intelligente concernant l'argent qu'il a remporté dans l'émission.
Musicien par vocation, celui qui a eu la chance de pouvoir choisir son propre instrument de musique lorsqu'il était petit, ne se laisse pas griser par sa nouvelle richesse. "Ma vie ne serait vraiment pas la même sans la musique. Je ne l'échangerai contre rien au monde", atteste-t-il. De fait, il compte utiliser son argent afin de se développer dans son art. "C'est précaire. C'est le régime de l'intermittence. On est soit très dépendant des subventions publiques ou bien dépendant des mécènes. Dans tous les cas, on est dépendant de quelqu'un", explique-t-il. Sa cagnotte, gagnée dans le format de TF1, lui permet donc d'envisager quelque chose qui pouvait lui paraître jusqu'alors inenvisageable, du moins aussi vite : l'indépendance ! "C'est un luxe ! Je peux réfléchir à ce que je veux. L'argent qui a atterri va pouvoir me permettre d'envisager ma carrière de façon plus sereine", se réjouit-il. Très au fait concernant son secteur d'activité, le jeune homme cite pour exemple ce qu'il se passe en Angleterre. "Même les plus grands orchestres, dont l'un des plus grands du monde, ne sont pas indépendants. Les programmes sont décidés par un mécène", continue-t-il.
"La liberté est la plus belle chose du monde" : Cyprien évoque le rêve qu'il pourrait accomplir grâce aux 12 coups de midi
Avec ses nouveaux moyens financiers, Cyprien, qui n'a jamais caché son admiration pour son célèbre prédécesseur, semble même déjà voir les choses en grand. "Avec nos musiciens, je peux faire des propositions libres. La liberté est la plus belle chose du monde", ajoute-t-il avant de conclure, amusé : "Après, il faut qu'ils soient tous d'accord."
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Quand elle revenait du kiosque, ma mère ramenait trois titres de presse : Femme Actuelle, Ouest-France et Télé-Loisirs. Petit, j’avais donc l’habitude de voir ces trois titres traîner sur la table. Tombé dans Plus belle la vie à cause de mes grands-parents, j’ai longtemps conservé la Une du magazine télé consacrée au premier rapprochement entre Boher et Samia dans la fiction. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été un enfant de la télé. Du moins, celle de mon époque, des années 2000 et 2010. Je me souviens du marathon Automoto-Téléfoot-Attention à la marche du dimanche/ Les 12 coups de midi - JT de 13H de TF1 avec mon père, conclut le soir par le Canal Football club et par le grand match de L1 du dimanche. J’ai aussi en tête des dîners passés devant le Juste Prix de Lagaf’ ou la Roue de la Fortune de Dechavanne et des belles soirées d’été devant Koh-Lanta… Je me rappelle aussi du jour où je suis tombé dans la télé-réalité. Alors que je croyais naïvement que W9 proposait les Ch’tis avec Dany Boon et Kad Merad, j’ai découvert Vincent Shoggun et Christopher “motivé”… S’en suivirent Les Anges de la télé-réalité, Les Marseillais et toutes les autres émissions du genre. Je suis presque devenu incollable sur ces personnalités “fascinantes” du petit écran. Ça m’a beaucoup servi en arrivant à Télé-Loisirs en 2021. Depuis mon arrivée, je ne compte plus tous les candidats que j’ai interrogés. Et si vous vous posez la question, le plus sympathique de tous est sans conteste Julien Tanti ! En écrivant ces lignes, je me rends compte que j’ai pu interroger ceux qui avaient fait mon enfance : Jean-Luc Reichmann, Denis Brogniart, Bixente Lizarazu, Grégoire Margotton, Hervé Mathoux, Christophe Dugarry… et même Christopher des Ch’tis ! Si le petit gars que j’étais s’était douté de ça…
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