C’est un passage incontournable pour les touristes de la région d’Amiens (Somme). Dix des trente Miss régionales, en préparation de l’élection de Miss France 2026 (ce samedi soir sur TF 1, à partir de 21h10), ont rencontré la famille Trogneux, connue notamment pour être celle de Brigitte Macron.
Fierté locale, cette maison de confiserie fondée en 1872 et spécialisée dans les macarons et le chocolat leur a offert un atelier culinaire. Elle commercialise désormais les robes de princesses en chocolat qu’elles ont confectionnées, ainsi que des macarons à leur effigie. Un succès immédiat.

Ce samedi matin, la boutique du centre historique est pleine à craquer. « C’est toujours le rush avant Noël, les clients ne viennent pas pour les produits des Miss France mais ils sont contents de les trouver et repartent souvent avec en souvenir », nous confie une vendeuse pressée entre deux commandes. « Ils ne sont pas parfaits mais nos clients nous excuseront certainement car ils ont été confectionnés par les candidates ! », s’amuse Jean-Baptiste Trogneux, le patron.
« Les gens veulent voir les Miss ! »
Le petit-neveu de Brigitte Macron dirige la chocolaterie et a accueilli les Miss lors d’une sortie en ville, entre une promenade en petit train et une rencontre avec l’équipe locale de hockey. « Je n’ai évidemment pas eu trop de mal à trouver des volontaires pour faire l’atelier avec des Miss, s’amuse Jean-Baptiste Trogneux, sixième génération à travailler dans la maison. Il y avait une vraie émulation avec près de 200 personnes devant la vitrine. On a même dû faire venir de la sécurité. Les gens veulent voir les Miss ! »
Cette visite fera l’objet d’un reportage diffusé en prime time lors de l’élection. « C’est une véritable fierté pour nous d’avoir pu recevoir les Miss et une belle occasion de montrer l’histoire et le savoir-faire de notre maison et de nos chocolatiers. Ce sera diffusé devant 8 millions de téléspectateurs donc on imagine que demain sera une grande journée pour nous. Dès qu’on a une diffusion, on observe un pic d’activité important. »
Il ajoute : « On a découvert des jeunes femmes qui étaient vraiment partantes, espiègles, qui n’hésitaient pas à nous faire des blagues. C’était rigolo de les voir s’éclabousser avec du chocolat mais surtout de les voir gourmandes. On pensait que les Miss diraient on veut rentrer dans notre robe mais non, elles ont goûté toutes nos spécialités ! C’était un moment très sympa pour toute notre équipe et nos trois maîtres chocolatiers. »
Aucune d’entre elles n’a cependant évoqué la première dame. « On fait du chocolat, pas de la politique. On préfère parler des Miss que de Brigitte », plaisante son petit-neveu.












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