Miss France 2026 : qui est Miss Normandie, Victoire Dupuis ?

Sacrée un vendredi 13 dans sa Normandie natale, Victoire Dupuis porte dans son prénom sa volonté de s’imposer. La Rouennaise de 19 ans porte haut les couleurs de sa région à l’élection de Miss France 2026 ce samedi 6 décembre et n’est pas là par hasard : « J’en rêve depuis que je suis toute petite. Je regarde l’émission chaque année et j’ai toujours été fascinée par l’univers des Miss. J’adore l’éloquence, parler en public et transmettre des émotions », a-t-elle confié à Ouest-France en juin, tout juste élue.

Étudiante dans une école de communication, marketing et publicité, elle souhaiterait devenir présentatrice télé, rêve qu’elle touche du doigt en apparaissant régulièrement aux côtés des équipes de « Rouen Le Mag », média de sa métropole d’origine.

Ancienne cavalière, elle veut ramener la couronne à la maison

Celle qui ne commence jamais sa journée sans une tasse de thé est également une adepte du yoga, après avoir pratiqué l’équitation pendant 12 ans durant son enfance et son adolescence. Bien plus branchée fromages normands (le camembert en tête !) que chantilly, comptez sur elle pour s’époumoner sur le culte « Confidence pour confidence » de Jean Schultheis, bien que ce ne soit pas de sa génération.

Cinq ans après la Calvadosienne Amandine Petit, la Normandie veut « ramener la couronne à la maison », déjà remportée par Cindy Fabre (2005) et Malika Ménard (2010). La mairie de Rouen a même lancé une campagne de soutien à sa représentante : « Si Victoire accède au Top 12, elle aura plus que jamais besoin de soutien et de votes. Cela fera toute la différence », écrit la municipalité ce mardi sur son site.

La couronne serait pour elle l’occasion de mettre en avant les problématiques liées à la santé mentale. « Si je n’ai pas été personnellement touchée par ce fléau, j’estime qu’il doit être défendu et démocratisé. Il y a encore trop de tabous autour de ce sujet. Pourtant, chacun d’entre nous peut y être confronté à un moment de sa vie », expliquait-elle à nos confrères de Ouest-France.