Miss France 2026 : qui est Miss Rhône-Alpes, Noémie Baiamonte ?

Les couronnes, elle les additionne. Noémie Baiamonte a remporté pas moins de trois élections locales pour se présenter ce samedi 6 décembre à l’élection de Miss France 2026 en tant que Miss Rhône-Alpes. L’étudiante en première année de marketing de luxe à Villeurbanne (Rhône) a gravi les échelons (et cumulé les écharpes) depuis le mois d’avril. D’abord Miss Châtillon Pays de Dombes, elle est ensuite devenue Miss Pays de l’Ain puis Miss régionale à l’âge de 21 ans.

Née à Saint-Étienne (Loire), elle a grandi à Saint-Chamond puis à Rive-de-Gier, communes situées dans le même département. La Miss aux cheveux bouclés est actuellement étudiante en première année au sein de l’école de cinéma EICAR à Villeurbanne (Rhône), mais a déjà très bien son objectif en tête : devenir plasticienne, c’est-à-dire maquilleuse spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma. Elle ne s’en cache pas, elle espère que l’aventure des Miss lui permettra de rencontrer de nombreux professionnels du secteur en vue d’une prochaine carrière.

Une candidate aux cinq tatouages

D’ailleurs, elle a l’art dans la peau, dans tous les sens du terme : celle qui arbore pas moins de cinq tatouages exhibera fièrement sur la scène du Zénith d’Amiens (Somme) le dragon rouge vif qui orne son avant-bras gauche. Un symbole qui ne lui aurait pas permis de participer au concours il y a encore quelques années, puisque les tatouages ne sont autorisés que depuis 2022 et une mise à jour du règlement de Miss France.

Fascinée par Zendaya et la mannequin Winnie Harlow, Noémie Baiamonte pourrait ainsi devenir la première Miss Rhône-Alpes élue dans l’histoire du concours - les précédentes comme Sylvie Tellier (Miss Lyon et Miss France 2002) ont été sacrées sous le nom d’un autre comité - et souhaiterait principalement interagir avec les jeunes générations.

Elle veut leur permettre d’avoir « confiance en eux » et qu’ils « ne se découragent pas face aux doutes ou aux échecs », en particulier les jeunes femmes. Son conseil ? « Je souhaite les encourager à explorer, à se tromper et à se réinventer, pour qu’ils découvrent leur chemin sans pression ».