Test Acer Predator Triton 14 AI : un bijou de finesse taillé pour le jeu nomade

il y a 1 day 3

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Le Predator Triton 14 AI d’Acer est un PC portable ultrafin embarquant un processeur Core Ultra 9 et une GeForce RTX 5070. Avec sa dalle Oled 14,5 pouces bien définie, il se destine à la fois aux gamers nomades et créateurs de contenu.

Présenté au Computex en mai 2025, l'Acer Predator Triton 14 AI est une sorte d’ultrabook dopé aux hormones. Ainsi, il est animé par un processeur Intel Core Ultra 9 288V accompagné de 32 Go de mémoire vive. Il est avant tout secondé par une GeForce RTX 5070 de 110 W, le tout enveloppé par un châssis de 1,7 cm d’épaisseur et ne pesant que 1,5 kg.

Une dalle Oled 14,5 pouces affichant 2880 x 1800 pixels à 120 Hz complète cette configuration compacte, mais musclée.

Un Core Ultra 9 et une GeForce RTX 5070 dans 1,7 cm d'épaisseur, Acer l'a fait !

Un Core Ultra 9 et une GeForce RTX 5070 dans 1,7 cm d'épaisseur, Acer l'a fait !

© Les Numériques

Avec une telle configuration, le Predator Triton 14 AI s’attaque à l'Asus ROG Zephyrus G14, au Razer Blade 14 (toujours indisponible en France), et même pour la partie création de contenu à l'Apple MacBook Pro 14.

Évidemment, une telle débauche de caractéristiques a un coût, ici de 3400 €. C’est plus que le Zephyrus G14 à configuration égale ou qu’un MacBook Pro 14 bien équipé. À ce tarif, la copie d’Acer se doit donc d’être irréprochable.

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 4 sur 5

Construction

Le Predator Triton 14 AI est doté d’un très joli châssis en aluminium à la robe bleu nuit. La finition est exemplaire et a surpris plus d’un collègue à la rédaction des Numériques. Au niveau des aérations arrière, on a ainsi droit à un bandeau irisé avec un discret logo Triton, tandis que le capot arbore le logo Predator rétroéclairé RGB, évidemment personnalisable.

Le PC portable Acer Predator Triton AI 14 posé capot fermé sur une table.

C'est une fois allumé que le Predator Triton 14 AI brille de mille feux.

© Les Numériques

L’ouverture du capot est un peu pénible à défaut d’une encoche pour se saisir de l’écran. Une fois à l’intérieur, on découvre la dalle particulièrement brillante du Triton 14 AI, notamment à cause de la surcouche tactile.

La mise en route déclenche une explosion de scintillement RGB sur le clavier — un avertissement pour les épileptiques n’aurait pas été de trop. Le clavier offre une frappe bien marquée et est complètement dépourvu d’effet trampoline en son centre.

Rien à redire sur le clavier.

Rien à redire sur le clavier.

© Les Numériques

Un mot sur la gestion du RGB… Il est évidemment possible de paramétrer l’ensemble des effets lumineux, ainsi que le logo sur le capot et celui sous le clavier à droite du pavé tactile. Ainsi, si vous utilisez le Triton 14 AI pour un usage créatif, vous pouvez passer à un rétroéclairage blanc plus traditionnel en mode silencieux, voire à un mode plus tape-à-l'œil ou même personnalisé avec les touches ZQSD d’une autre couleur pour vos sessions de jeu en mode performance. Tout est possible et plutôt bien fait dans le logiciel Acer, qui possède même une touche dédiée entre F12 et la touche Impr. écran. Une autre touche est aussi présente au-dessus de la touche F1, qui permet de changer de mode de fonctionnement : Silencieux, Équilibré, Performance et Ventilation au maximum lorsque le PC est branché, ou Silencieux et Équilibré une fois sur batterie.

Même le rétroéclairage de ce petit logo est personnalisable, tant en termes de couleurs que d'effets.

Même le rétroéclairage de ce petit logo est personnalisable, tant en termes de couleurs que d'effets.

© Les Numériques

Le pavé tactile est complètement intégré au repose-paumes, comme nous l'avons déjà vu sur le Dell XPS, et est délimité par deux barres verticales qui s'illuminent lorsque vos doigts effleurent la surface tactile. La glisse s'effectue sans contrainte et l’ensemble des gestes tactiles supportés par Windows est parfaitement reconnu. Du côté des clics, on préférera tapoter sur la surface tactile plutôt que d’activer le clic gauche placé à l'extrémité du boîtier et difficilement activable.

L'effleurement du pavé tactile allume les deux barres délimitant sa surface.

L'effleurement du pavé tactile allume les deux barres délimitant sa surface.

© Les Numériques

Pour ce qui est de la connectique, Acer s’est montré généreux avec un port Thunderbolt 4, un port USB-C 3.2, deux ports USB (10 Gb/s), un port HDMI, l’increvable prise jack et un lecteur de carte microSD. Le tout est réparti presque équitablement de chaque côté du clavier, même si, en tant que droitier, nous aurions préféré que la prise HDMI soit située à gauche du clavier pour éviter un câble imposant dans l’aire d’évolution de notre souris.

Un lecteur de carte microSD ? On prend, ça peut toujours servir !

Un lecteur de carte microSD ? On prend, ça peut toujours servir !

© Les Numériques

La partie sans-fil est assurée par une puce Intel Killer BE1750i compatible wifi 7 avec toutes ses fonctionnalités (MLO, 6 GHz et 320 MHz). C’est en réalité une puce Intel BE200 rebadgée avec des pilotes “gaming”, histoire de vendre plus cher la même puce.

La webcam est pourvue d’un capteur Full HD. Toutefois, le rendu n’est vraiment pas au rendez-vous avec des zones floues, notamment sur le contour du visage, alors que nos photos d’arrière-plan sont complètement illisibles. Avec son Core Ultra 9 et son NPU, il est possible d'activer les effets Windows Studio (flou d’arrière-plan, cadrage auto, suivi des yeux) sans grever l’autonomie.

Pour la qualité de la webcam, on repassera. Les contours sont flous.

Pour la qualité de la webcam, on repassera. Les contours sont flous.

© Les Numériques

Le système de refroidissement de l'Acer Predator Triton 14 AI est particulièrement travaillé, comme nous vous l'avions décrit lors de son annonce en mai 2025. On y retrouve donc une chambre à vapeur chargée de déplacer les calories dégagées par le processeur et le GPU vers les deux radiateurs dans lesquels soufflent deux ventilateurs.

La chambre à vapeur est finalement moins stylée que lors de sa présentation au Computex.

La chambre à vapeur est finalement moins stylée que lors de sa présentation au Computex.

© Les Numériques

En pratique, les zones du clavier situées au-dessus des ventilateurs restent parfaitement fraîches (ZQSD et touches fléchées). Attention cependant, car au-dessus des touches de fonctions ou en plein jeu, la température peut atteindre près de 45 °C. Assez surprenant quand on ne s’y attend pas.

Ça chauffe, oui, mais au bon endroit !

Ça chauffe, oui, mais au bon endroit !

© Les Numériques

Du côté des nuisances sonores, en mode performance après une trentaine de minutes de jeu, nous avons atteint 47,9 dB, en mode silencieux 35,7 dB et 40,3 dB en mode Équilibré. Et si le cœur vous en dit, vous pouvez passer en mode ventilation maximale, qui pousse les ventilateurs dans leurs derniers retranchements (52,7 dB), mais mieux vaut alors avoir le casque à réduction du bruit sur les oreilles.

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 4 sur 5

Performances

Le Predator Triton 14 AI mis à notre disposition par Acer est muni d’un processeur Intel Core Ultra 9 288V embarquant quatre cœurs performants et quatre cœurs efficients pour un maximum de 5,1 GHz. La mémoire vive étant accolée aux cœurs du processeur, cette version embarque 32 Go de mémoire vive et un SSD de 1 To pour le stockage.

Indice de performances du processeur.

Indice de performances du processeur.

© Les Numériques

Avec son Core Ultra 9, le Triton 14 AI n’est pas vraiment à la fête en termes de puissance brute. Il se montre ainsi 21 % moins performant que le Ryzen 9 AI 9 370HX du ROG Zephyrus G14 d’Asus sur l’ensemble des tâches que nous lui avons soumises. Il faut rappeler que le processeur d’Intel ne possède “que” huit cœurs dépourvus de l’Hyper-Threading, cette technologie qui répartit les tâches à traiter (sur 16 cœurs virtuels dans ce cas), comme le fait AMD avec son Ryzen 9. Ainsi, si le processeur Intel se montre aussi réactif qu’un processeur AMD, sur les tâches longues et fortement parallélisables comme un encodage vidéo ou un rendu 3D, ce dernier pâtit de l’absence de l’Hyper-Threading.

Autre chiffre qui ne met pas en valeur ce Core Ultra 9 288V : la puce M5 de l'Apple MacBook Pro 14 se montre 40 % plus performante sur l’ensemble de nos tests !

Le détail des temps de rendu obtenus dans nos différentes applications illustre parfaitement ce que nous vous expliquions.

Temps de traitement selon les applications.

Temps de traitement selon les applications.

© Les Numériques

Heureusement, le Predator Triton 14 AI a un autre argument à faire valoir  son GPU GeForce RTX 5070, qui accélère drastiquement les temps de traitement dans nos applications de test.

Ainsi, dans Adobe Premiere, le temps de traitement est divisé par 9, dans Photoshop par 3 et par 21 dans Blender ! C’est dire si le processeur d’Intel déteste les tâches hautement parallélisées.

Temps de traitement selon les applications en utilisant le GPU.

Temps de traitement selon les applications en utilisant le GPU.

© Les Numériques

La partie stockage est dévolue au SSD 3400 de Micron, un modèle réservé aux assembleurs de PC. En pratique, il a obtenu des débits de 6,5 Go/s en lecture, 4,3 Go/s en écriture, et nous n’avons pas noté de ralentissement lors du transfert de 130 Go de fichiers de test.

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 3 sur 5

Jeux

Pour s’assurer de bonnes performances en jeu, Acer a sélectionné une Nvidia GeForce RTX 5070 pourvue d’une enveloppe de puissance de 110 W avec Dynamic Boost. Elle est accompagnée de 8 Go de VRAM, ce qui sera évidemment trop juste pour jouer dans la définition native de l’écran sans le DLSS ou la génération d'images.

Lors de nos tests, la GeForce RTX 5070 n’a pas dépassé les 83 W de consommation, quels que soient le jeu, la définition de rendu et les options graphiques utilisées. On est donc loin des 110 W mis en avant par Acer et affichés dans les pilotes Nvidia. À titre de comparaison, la GeForce RTX 5080 annoncée à 175 W dans le MSI Raider atteignait bien 173 W dans nos tests.

Jeux en Full HD

Framerate en 1080p selon les jeux et les réglages graphiques.

Framerate en 1080p selon les jeux et les réglages graphiques.

© Les Numériques

L'Acer Triton AI 14 est parfaitement pourvu pour jouer en 1920 x 1080 pixels. Ainsi, si l’on se contente de titres sans raytracing, il n’est pas rare de dépasser les 60 images par seconde (i/s) avec toutes les options à leur maximum. L’activation du raytracing nécessite celles du DLSS et de la génération d'images pour retrouver une fluidité exemplaire.

Définition native : 2880 x 1800 pixels

C'est compliqué en 2880 x 1800 pixels.

C'est compliqué en 2880 x 1800 pixels.

© Les Numériques

En 2880 x 1800 pixels, soit la définition de la dalle de ce portable, vous pouvez déjà envisager l’activation du DLSS et de la Frame Generation dans les derniers AAA. L’activation du raytracing dans certains jeux conduit à un plantage, à cause de la faible quantité de VRAM entre autres. Par exemple, dans Indiana Jones, les options de raytracing sont indisponibles.

Au final, dans la définition native, la plupart des jeux avec les options à fond sont “injouables” sans activer le DLSS en mode performance et sans raytracing.

 4 sur 5

Écran

Acer a pourvu son Predator Triton 14 AI d’une dalle Oled de 14,5 pouces, qui affiche 2880 x 1800 pixels à une fréquence de rafraîchissement de 120 Hz. À noter que l'écran est également pourvu du tactile et qu'Acer fournit un stylet pour les créateurs de contenu.

La brillance de la dalle peut gêner la lisibilité en environnement lumineux.

La brillance de la dalle peut gêner la lisibilité en environnement lumineux.

© Les Numériques

Sous notre sonde, la dalle Oled ne s’avère pas parfaitement calibrée puisque son delta E atteint 4,4, soit au-dessus du seuil platonique de 3. La température des couleurs est très proche de la norme vidéo fixée à 6500 K avec 6404 K mesurés.

Évidemment, avec une dalle Oled, le Triton 14 AI offre des taux de contraste quasiment infinis et des noirs proches de la perfection. Autre avantage de la technologie, la rémanence est imperceptible, car inférieure à la milliseconde.

La luminosité maximale est de 377 cd/m², dans la moyenne des ordinateurs portables testés. Toutefois, cela sera insuffisant pour contrer les reflets indésirables de cette dalle privée de filtre antireflet. Nous avons ainsi mesuré une réflectance de 51 %, ce qui place le Triton 14 AI parmi les plus mauvais élèves. C’est finalement assez ironique puisque c’est un autre Acer, le Swift Edge 14 AI, qui détient le plus faible taux de lumière réfléchie (6 %).

Comparer les photos

À noter que la surcouche tactile utilisée par le constructeur est relativement visible, provoquant une sorte de fourmillement dans les couleurs unies, surtout en utilisation bureautique. C'est assez perturbant.

Sur les surfaces claires et unies, la trame de la surcouche tactile est très visible.

Sur les surfaces claires et unies, la trame de la surcouche tactile est très visible.

© Les Numériques

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 3 sur 5

Audio

La partie audio de l'Acer Predator Triton 14 AI est composée de six haut-parleurs, selon le fabricant. Deux sont orientés vers l’extérieur du châssis, deux autres vers le dessous et les deux derniers trônent dans le châssis. En fait, Acer utilise un petit stratagème : trois membranes sont bien présentes, mais sur une unique chambre de compression, sachant que deux modules sont présents : l'un à gauche, l’autre à droite.

Et deux autres membranes côté face
Une membrane coté pile

À l’écoute, le son est complètement étouffé et manque cruellement de graves et de précision dans les aigus. Un simple MacBook Air d’Apple avec ses deux haut-parleurs est à des années-lumière du rendu offert par ce Triton 14 AI et ses six haut-parleurs.

La sortie casque nous réserve également de mauvaises surprises. Ainsi, si la puissance en sortie est élevée, la diaphonie correcte pour des effets stéréo marqués et la dynamique importante, le tout est gâché par une distorsion bien trop élevée. Celle-ci est provoquée par un logiciel de traitement que nous n’avons pas réussi à désactiver, que ce soit en désinstallant DTS:X ou en désactivant le traitement dans DTS Surround.

Acer Predator Triton 14 AI Moyenne des PC testés
Niveau de sortie 348 mVRMS 183 mVRMS
Distorsion + bruit 0,4 % 0,021 %
Plage dynamique 105 dB 98 dB
Diaphonie -49 dB -57 dB

 3 sur 5

Autonomie

Pour assurer un fonctionnement loin d'une prise électrique, Acer a doté son Predator Triton 14 AI d’une batterie de 76 Wh. Une capacité importante pour un modèle 14,5 pouces, puisque l'Asus ROG Zephyrus G14 possède une batterie de 73 Wh et le MacBook Pro 14 M5 un accu de 72,4 Wh. Pour fournir le plein d’électrons, il est accompagné d’un chargeur USB-C de 180 W au format plutôt compact, mais toujours flanqué de cet encombrant câble secteur à embout “mickey”.

Le chargeur USB-C de 180 W est relativement compact.

Le chargeur USB-C de 180 W est relativement compact.

© Les Numériques

En lecture vidéo, le Predator Triton 14 AI a tenu pas moins de 7 h 39 min, un score plus qu’honorable, mais plus faible que le Zephyrus G14 et bien plus encore que le MacBook Pro M5. Pour un PC portable destiné aux gamers et créateurs de contenu, cela reste dans l’absolu une bonne performance.

L'Acer Predator Triton 14 AI jouit d'une autonomie correcte, malgré la présence d'un GPU dédié.

L'Acer Predator Triton 14 AI jouit d'une autonomie correcte, malgré la présence d'un GPU dédié.

© Les Numériques

 2 sur 5

Réparabilité

L'accès aux composants de l'Acer Predator Triton 14 AI est relativement simple si l’on exclut le nombre de vis à retirer (11). La coque se déclipse ensuite assez facilement pour découvrir les entrailles de l’engin.

L'évolutivité se limite à la carte wifi et au SSD.

L'évolutivité se limite à la carte wifi et au SSD.

© Les Numériques

À l'intérieur, pas de surprise : la mémoire vive est soudée puisqu’elle fait partie intégrante des processeurs Intel Core Ultra 2. En revanche, le SSD, la carte wifi et la batterie sont facilement remplaçables.

Acer annonce un indice de réparabilité de 6,8/10, note notamment plombée par un prix des pièces détachées important, le Triton 14 AI ayant obtenu une note de 0/10 sur ce critère.

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Points forts

  • Châssis qualitatif.

  • Connectique variée.

  • Dalle Oled.

  • Système de refroidissement.

Points faibles

  • Dalle trop sujette aux reflets.

  • Partie audio ratée.

  • Calibration de l'écran.

Conclusion

Note globale

 3 sur 5

Comment fonctionne la notation ?

Avec le Predator Triton 14 AI, Acer signe une machine paradoxale qui séduit par son châssis irréprochable et sa dalle Oled, mais déçoit sur des points cruciaux au regard de son tarif élitiste. Si le refroidissement est maîtrisé et l'autonomie correcte, l'expérience globale est ternie par une partie audio médiocre, un écran trop sujet aux reflets et des performances en retrait face aux ténors du marché. En somme, c'est un PC portable élégant qui cherche encore son identité entre gaming et création, mais peine à s'imposer face à une concurrence plus aboutie.

Face à la concurrence

Avec son positionnement à mi-chemin entre gaming et création de contenu, l'Acer Predator Triton 14 AI cherche sa voie. D'un côté, on a droit aux leds claquantes et à un design clairement vidéoludique ; de l'autre, on dispose d'une dalle de 2880 x 1800 pixels brillante et tactile. Ce PC portable a donc fort à faire face à l'Asus ROG Zephyrus G14, commercialisé sous la barre des 2000 € avec une GeForce RTX largement suffisante pour les créateurs de contenus sous Windows. Les gamers se tourneront vers les versions mieux dotées en GPU, telle la RTX 5080 que nous avons testée, toujours vendues à un prix similaire au Triton 14 AI. Enfin, les créateurs de contenu n'ayant que faire du gaming se tourneront assurément vers l'Apple MacBook Pro 14 M5 qui, même équipé de la dalle en verre nanotexturé et des mêmes options de stockage et de mémoire vive, reste plus accessible à 2739 €.

Sous-Notes

  • Construction

     4 sur 5

  • Performances

     4 sur 5

  • Jeux

     3 sur 5

  • Écran

     4 sur 5

  • Audio

     3 sur 5

  • Autonomie

     3 sur 5

  • Réparabilité

     2 sur 5

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