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Publié le 06/12/2025 à 11:00
Grande nouveauté pour l'élection de Miss France 2026 ! Les trente candidates ne seront plus 15 demi-finalistes. Une première depuis 2019. Télé-Loisirs vous donne plus d'explications.
C’est LE rendez-vous incontournable pour les fans de concours de beauté. Tous les ans, au mois de décembre, l’élection de Miss France crée l’effervescence en proposant un show toujours plus spectaculaire. Et ça sera encore le cas cette année. Le 6 décembre 2025, en direct du Zénith d’Amiens, les téléspectateurs et le jury découvriront les trente candidates régionales, fraîchement revenues de leur préparation en Martinique auquel Télé-Loisirs à participer. Petite nouveauté cette année : l’organisation a décidé de revisiter certains fondamentaux de la compétition, notamment lors de la phase cruciale de présélection. Une décision qui pourrait rebattre les cartes et créer des surprises au moment du passage devant le jury comme devant le public. Car un changement majeur a été confirmé : la réduction du nombre de demi-finalistes, passant de 15 à 12 prétendantes à la couronne de Miss France. Mais pourquoi un tel choix ?
La réponse est simple : c’est un vrai choix stratégique. Frédéric Gilbert, le Directeur Général de Miss France, explique qu’on revient à un format déjà testé en 2019. L’idée, c’est de renforcer l’intensité de la compétition et de donner encore plus de valeur à celles qui parviennent à franchir ce cap. Résultat : plus de top 15, mais un top 12, sélectionné parmi les trente prétendantes au titre. Forcément, la pression monte d’un cran, puisque chaque place devient précieuse. Et comme le rappelle Frédéric Gilbert, "un rôle de demi-finaliste, ça se mérite". Cette étape plus resserrée influe directement sur la suite, puisque seules 5 finalistes seront retenues avant le dénouement final.
Miss France 2026 : Voici la thématique et ce qui vous attend lors de la cérémonie
Au-delà de cette évolution stratégique, l’édition 2026 s’articule autour d’un thème fort : le voyage des Miss. Cette soirée promet un véritable périple à travers les époques et les régions françaises. Les tableaux artistiques, les costumes régionaux - accompagnés exceptionnellement par la Garde Républicaine - ainsi que les prises de parole emblématiques rythmeront ce show placé sous le signe de l’évasion. Ève Gilles (Miss France 2024) a également annoncé qu'elle prévoyait une petite surprise sur le plateau, sans compter le moment très attendu de la passation entre Angélique Angari-Filopon et la nouvelle Miss France.
Autre nouveauté : la future Miss élue sera épaulée tout au long de son règne par une marraine. Un rôle inédit confié cette année à Camille Cerf, Miss France 2015. Une édition qui s’annonce d’ores et déjà dépaysante, ambitieuse et riche en émotions !
L'article parle de...
Mon point commun avec Sophie Ferjani, architecte d’intérieur et animatrice, ou encore avec Julian Bugier, le visage du 13h de France 2 ? Nous partageons la même terre d’origine : Blois. C’est dans ce fief parmi les fiefs que se sont écrit des pans entiers de l’Histoire et où ont défilé Louis XII, François Ier, Catherine de Médicis… Rien détonnant, finalement, à ce que je collabore quelques années plus tard avec Stéphane Bern, expert des têtes couronnées. Un destin tout tracé ? À la maison, ma famille a toujours vibré au rythme du tube cathodique. "Coucou, c’est nous !", "Qui est qui ?", "Union Libre", "Tout le monde en parle", la "Star Academy"… Toutes ces émissions cultes font partie de mon Panthéon de la télévision et ont façonné mon goût pour ce milieu. N’oublions pas "La Trilogie du samedi" sur M6 avec notamment la série "Buffy contre les vampires", que je regarde encore religieusement une fois pas an (Testez-moi, je suis incollable !). Après le Bac, Lyon m’a accueilli pour quatre années d’école de commerce, puis direction Paris afin de devenir journaliste. C’est à cette période, entre deux exercices de reportage, qu’un professeur m’a lancé (en plaisantant, j'espère) que j’avais "un physique de radio". Une blague qui m’a porté chance puisque j’y ai passé treize ans. NRJ, Europe 1, mais surtout RTL. C'est au sein de la station rouge que j'ai joué les couteaux suisses, passant des flashs et journaux de nuit aux enquêtes pour Julien Courbet dans "Ça peut vous arriver", jusqu’au poste de chroniqueur dans "On refait la télé", aux côtés d’Éric Dussart et Jade. Cette dernière aventure m’a ouvert les portes de la rédaction de Télé-Loisirs en 2022 où je suis désormais journaliste médias. Depuis, je rode dans les coulisses du PAF pour décrypter la mécanique de vos émissions préférées à l’instar de "C à Vous", "Un dimanche à la campagne", "Rendez-vous en terre inconnue" ou encore "Les Traîtres". Expert en télé-crochets, "The Voice" n'a plus de secrets pour moi. Seize ans après mes débuts, je jubile toujours autant à l'idée de découvrir les ficelles de cet univers avec lequel j’ai grandi. Parce qu’au fond, tout est parti de là. Quoi qu'on en dise, je suis et je resterai un enfant de la télé.
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