Rugby : en vidéo, le clip de promotion façon blockbuster de la Coupe du monde en Australie

Le robot du Japon, le catamaran néo-zélandais, une course folle dans le désert australien. RWC 2027

Tout de suite, les images font penser à «Mad Max Fury Road». Une horde de chars roulant à un train d’enfer dans un nuage de sable de l’Outback australien, à la poursuite du trophée Webb Ellis traversant le ciel comme une comète. L’apparition d’un lézard à collerette – autre nom du dragon australien – au milieu de la meute fait alors référence à Jurassic Park.

Du grand spectacle, façon blockbuster, lancé par un trait d’humour, les retrouvailles entre l’Australien George Gregan et l’Anglais Jonny Wilkinson, le second ayant mené l’Angleterre au titre mondial lors de l’édition 2003 , déjà organisé en Australie, face aux Wallabies.

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Dans ce film survolté d’une minute pile, baptisé «Go All Out» («donnez tout ce que vous avez»), joueurs (on aperçoit, courant au milieu du chaos, les stars des Wallabies Joseph Suaalii, Max Jorgensen et Rob Valetini), supporters, commentateurs, chacun a un rôle à jouer au milieu de chars homériques construits en collaboration avec les fédérations de chaque pays qualifié.

Surgit en premier l’énorme camion sud-africain, surmonté de deux gigantesques cornes d’antilope (springbok), hommage aux doubles champions du monde en titre. Dans la course effrénée, on aperçoit un Dragon gallois planant dans les airs, un Wallaby mécanique mené par l’acteur Jack Black, le char anglais avec son lion ou argentin avec son puma, une guitare espagnole, un robot japonais… Les Fidji ? Un hamac attaché entre deux palmiers sur un camion brinquebalant. Le monstre du Loch Ness pour les Écossais, un catamaran pour les Néo-Zélandais. Et un Coq dirigé par une femme en tenue de Bonaparte pour la France…

Le char français RWC 2027

«Cette campagne capture l’essence, la passion et l’ampleur de ce que signifie véritablement une Coupe du Monde de Rugby. Il n’y a tout simplement rien de comparable. Les fans des quatre coins du globe se réuniront pour célébrer le sport que nous aimons, et l’énergie sera électrique», résume Chris Stanley, le directeur général de la Coupe du Monde 2027.